En septembre, je concluais le deuxième article dédié à mon volontariat à Bali par les adieux avec Dori, l’américaine rencontrée à Uluwatu. Elle m’a laissée à l’entrée du petit sentier qui menait à la maison des volontaires où je suis une fois de plus arrivée la première ; j’ai profité de cette tranquillité pour passer un peu plus de temps dans le voisinage. Nous vivions parmi plusieurs familles balinaises et ma pudeur m’avait jusqu’alors retenue de les photographier ainsi que leur environnement.
J’étais tiraillée entre la petite voix qui me disait de les laisser tranquilles et celle qui m’enjoignait à sortir mon appareil photo pour avoir des souvenirs tangibles.
J’ai commencé par me diriger vers le petit atelier de batik où nous voyions chaque jour une femme et un homme peindre des motifs différents sur de grands tissus blancs : j’aurais pu les regarder des heures si, justement, mon regard ne les avait pas intimidés. Alors je suis partie aussi vite que je suis arrivée, en soufflant plusieurs fois timidement « Terima kasih » – soit merci, ça se voit bien, c’est hyper transparent quand même, non ?
Continuant mes pérégrinations et levant le nez de temps en temps pour observer tous ces jolis oiseaux gardés dans des cages à l’entrée des maisons, j’ai croisé le chemin de trois petits garçons qui portaient de grandes feuilles de bananier. Ils ont pointé du doigt mon appareil photo et ont eu vite fait de me comprendre qu’ils voulaient jouer aux modèles. L’occasion était trop belle mais il a fallu que je rate absolument tous mes clichés – une sale histoire de mise au point et de surexposition. Je les garde pour le souvenir et je poste ici la plus acceptable ; sur le moment, j’étais très fâchée contre moi et puis, j’ai relativisé.
Après tout, les souvenirs ce n’est pas un bien matériel. Ce que l’on garde en mémoire est plus fort qu’une photographie : les impressions, les émotions, et tout ce qui n’appartient qu’à nous finalement, ne transparaissent pas sur une image – en tout cas, je n’ai pas ce talent.
Cette pensée que je n’ai pas rationalisée sur le moment m’a accompagnée pendant cette dernière semaine de volontariat à Bali. J’ai pris peu de photos, j’ai choisi de plutôt vivre pleinement mes dernières journées sur l’île et d’arrêter de croire qu’il fallait que je documente la moindre heure de mon voyage.
Avant que le soleil ne se couche, j’ai été dîner au Yellow Flower Café pour compléter mon journal de voyage au calme après avoir été faire 1h30 de yoga vinyasa au studio Intuitive Flow. Je vous en avais rapidement parlé ici : mon séjour à Bali a été l’occasion de suivre des cours de yoga pour la première fois. Le cadre était parfait… Imaginez une grande salle lumineuse offrant une vue sur les rizières alentours. Tout le matériel est fourni, les professeurs sont adorables et très compétents – et puis comme tout à Bali, c’est tellement peu cher !
J’ai adoré chaque cours que j’y ai suivi ; je m’y rendais 3 à 4 fois par semaine en fonction de mon emploi du temps et ça me faisait un bien fou. C’était un rendez-vous qui ponctuait mon quotidien là-bas et qui me faisait me sentir un peu plus… chez moi. Aussi bizarre que cela puisse paraître. Je prenais des habitudes : les dîners au Banana Leaf, les tisanes à la citronnelle au Kopi Desa, les Dadar Gulung (ces crêpes vertes à la noix de coco et au jus de pandan) au Café Vespa, les cours de yoga, les longueurs de piscine à l’hôtel The Mansion, etc.
Ces habitudes créaient de nouveaux repères et même si mon entourage me manquait, j’étais triste à l’idée de devoir partir et laisser cette nouvelle routine derrière moi.
Il fallait vraiment que je profite de chaque instant, que je mette en pratique ce que l’on apprend avec la méditation et je crois que les cours de yoga m’ont aidée à m’ancrer encore davantage dans le moment présent.
Je m’étais dit que je continuerai à suivre des cours de retour en France mais vous savez ce que c’est : on se fait des promesses et puis, on les laisse pourrir dans un coin. Je n’ai pas totalement abandonné l’idée et je ne désespère pas de m’y remettre pour de vrai un jour… prochain – en attendant, j’en fais à la maison avec Adriene.
Pour cette dernière semaine de volontariat à Bali, j’ai été transférée dans une classe au kindergarten, l’équivalent de notre maternelle. Je vous en avais déjà parlé, j’ai préféré mon expérience d’enseignement au sein de cette école pour la simple et bonne raison que les binômes de volontaires étaient encadrés à la fois par une personne de Green Lion, l’institutrice ainsi que son assistante qui étaient présentes pendant tout le cours.
Anna et moi arrivions vers 10h30 et intervenions une fois introduites par l’enseignante qui faisait autorité sur les éventuels enfants dissipés ; là où la semaine précédente j’échouais complètement avec Poppy.
Nous préparions surtout des activités ludiques et récréatives pour capter l’attention des enfants : coloriage, découpage, collage, chant, dessins à la craie dans la cour de l’école, etc. Je m’y suis sentie plus utile et mine de rien, c’est valorisant.
L’organisation était bien différente, les enfants avaient une récréation qui coupait notre intervention et qui leur permettait de souffler un peu : ils courraient tous à l’extérieur pour se laver les mains dans une bassine d’eau avant de revenir en classe pour déjeuner – souvent du poulet et du riz emballés dans du papier qu’ils mangeaient avec leurs doigts. J’aimais bien les regarder, ils étaient hyper attachants, à la fois souriants et craintifs.
J’ai pris ces photos le dernier jour de mon volontariat. Les enfants étaient habillés de leur uniforme de sport, tout le monde en rose y compris les garçons – si ce n’est pas merveilleux ça ! Anna n’avait pas pu venir et j’ai assuré le cours toute seule en le terminant par un atelier décorons-le-sol-de-la-cour-de-récré-en-dessinant-des-animaux qui, vous vous en doutez, a eu beaucoup de succès. Je me suis installée sur les marches et j’ai osé sortir mon reflex – après avoir demandé l’autorisation hein.
L’institutrice avait préparé un repas pour me remercier et j’ai été extrêmement gênée quand j’ai découvert qu’il s’agissait de volaille, une gêne qui s’est transformée en « je veux disparaître sous terre, très très loin » en voyant la déception dans ses yeux quand je lui ai dit que je ne mangeais pas d’animaux – even chicken ? Even chicken, that’s an animal too.
Heureusement, elle ne s’est pas formalisée et m’a offert du riz que j’ai mangé avec les doigts après les avoir trempés dans la bassine d’eau, à mon tour. Enfin, il y a eu, une dernière fois, cette chanson qui clôturait chaque cours, et une dernière fois leurs baisers sur le dos de la main avant de la poser contre leurs fronts.
Cette semaine-là, j’avais plus de temps libre et j’en ai profité pour essayer de me rendre utile. Orianne, mon amie expatriée à Bali, donnait de son temps bénévolement à la Villa Kitty Bali, un refuge crée par une australienne elle-même expatriée sur l’île depuis plusieurs années qui recueille chiens et chats abandonnés ou blessés. Elle avait besoin de photos pour son site, j’ai donc proposé de venir tirer le portrait de ses pensionnaires félins.
Elizabeth m’a accueillie souriante mais froide, elle est ce genre de femme dont le charisme en impose tellement qu’il vous fait perdre vos moyens. J’ai déposé mes affaires à l’entrée et enfilé des petits chaussons en papier. Elle m’a fait faire le tour du propriétaire avant de me laisser seule avec la quelque centaine de chats qu’elle a recueillie ; je ne vous cache pas que c’était assez émouvant de se retrouver avec toutes ces boules de poils aux histoires et aux personnalités différentes.
J’aurais voulu repartir avec chacune d’entre elles et les larmes me montaient un peu aux yeux – ok, le « un peu » c’est juste pour faire genre, en vrai j’ai chouiné – quand je savais qu’il était temps que je me lève pour aller rencontrer et photographier d’autres chats.
Ce déchirement quand tu vois deux petites billes vertes te fixer et quand tu entends des miaulements qui semblent vouloir dire encore-des-gratouilles-steuplé-ne-pars-tout-de-suite. Mais au moins, à la Villa Kitty, ils sont en sécurité. On s’occupe bien d’eux car en terme de bien-être animal, Bali a des progrès à faire. C’est un problème récurrent sur les îles : contrôler les naissances pour que les animaux ne prolifèrent pas et ne soient laissés agonisants sur le bord des routes, torturés, les chats dévorés par des chiens affamés, etc.
N’hésitez pas, si le cœur vous en dit, à faire un don au refuge. Que ce soit 3 ou 30 €, cet argent servira à sauver d’autres animaux qui viendront prendre la place de ceux qui ont trouvé une famille – c’est d’ailleurs possible d’adopter là-bas, que l’on vive à Bali ou pas. Bon, c’est un peu galère pour le retour mais c’est possible, sachez-le ;)
Samedi 24 octobre 2015, dernier réveil dans la maison des volontaires. Je sors de mon lit aux aurores, tout à fait involontairement, et le ciel m’offre un spectacle incroyable : un superbe lever de soleil comme je n’en avais jamais vu auparavant. J’observe ce camaïeu changeant de violets et de roses jusqu’à ce qu’il disparaisse. Je décide de ne pas me recoucher et de commencer à ranger mes affaires.
J’avais réservé avant mon départ de France deux nuits à l’hôtel Puri Sunia en m’offrant ce que l’on appellerait très trivialement et à raison : un vrai kif. Je prenais l’avion lundi soir et je voulais savourer ces derniers moments à Ubud en me reposant : lecture, baignade, massage, yoga, promenade dans la ville et un peu de shopping souvenirs.
J’ai rapporté des huiles essentielles de chez Blue Stone, des carnets et des cartes de chez Saraswati Papers réalisés dans du papier recyclé ainsi que des confitures et du sel de mer de chez Kou Cuisine. Je faisais mon possible pour étirer le temps, ne penser à rien, et tâcher d’imprimer dans ma mémoire tout ce qui fait Bali : le parfum de l’encens dans les rues, le cri des geckos la nuit, le chant des coqs le matin, le bruit des rizières, la végétation luxuriante, etc. Essayer de ne rien oublier.
Le dimanche midi, j’ai été déjeuner chez Soma, un restaurant vegan qui propose une cuisine crue absolument délicieuse. J’y suis restée au moins 3 heures pour y manger bien-sûr et puis écrire et lire. J’avais beau être seule, je ne souffrais pas de la solitude. Comme pendant tout ce séjour finalement ! En fin d’après-midi, je suis rentrée à l’hôtel et on m’a conduite à Petulu, un petit village à quelques kilomètres d’Ubud où chaque soir, des centaines de hérons blancs viennent regagner leurs nids.
C’était relaxant de les regarder arriver par vagues se poser sur des arbres bien particuliers qui leur permettent de nicher tranquillement. Lorsque je suis repartie, une plume m’est tombée dessus, quasiment dans mes mains… Je l’ai montrée au chauffeur de taxi qui m’a dit que c’était rare et en regardant autour de moi, j’ai remarqué qu’il n’y en avait en effet pas par terre.
Bien que je ne sois pas une fille très spirituelle ou disons, pour être moins catégorique, profondément athée ; j’ai pris ça comme un signe. Un cadeau de départ en quelque sorte, un souvenir tombé du ciel.
J’ai quitté l’hôtel le lundi matin avec mon sac à dos de 24 kilos sur le dos pour rejoindre Orianne à Sanur. Nous avions prévu de passer la journée ensemble à la plage et je l’ai retrouvée à la piscine en bord de mer où elle avait l’habitude de s’entraîner à la plongée en apnée. Elle m’a initiée pendant plus de 2 heures, je me suis vraiment prise au jeu et elle m’a appris à nager comme une sirène – le rêve de toutes les petites filles qui voulaient être Ariel : cette dernière journée à Bali n’aurait pas pu être mieux.
Clore ce premier voyage seule aux côtés d’une fille avec qui j’ai partagé une année dans une fac morne où l’on a maudit en cœur les cours du mardi matin à 8h, l’odeur écœurante des panini au fromage dans le hall et les horaires d’ouverture impossibles du secrétariat des Relations Internationales. Aux côtés d’une fille qui, je le répète, réalise ses rêves et qui participe, peut-être, de la force qui me pousse de plus en plus à réaliser les miens.
Nous sommes rentrées chez elle, j’ai pris une douche dans son incroyable salle de bain extérieure, j’ai enfilé ma tenue pour le vol – et mes merveilleux bas de contention de fille plus si jeune que ça à la circulation déconnante – et je lui ai exprimé toute ma gratitude. Intérieurement, j’ai remercié Bali et ce qu’elle m’a apporté : de belles rencontres, de la joie, de l’émerveillement, de la force et ce sentiment de puissance intense quand j’ai réalisé que je n’avais besoin de personne pour être heureuse et que, surtout, je ne devais laisser personne m’empêcher de l’être.
Je ne soupçonnais pas tout ce que ce voyage allait bousculer dans mon quotidien. Tant pis si c’est cul-cul ou cliché de dire ça mais ce séjour m’a métamorphosée et m’a donné du courage, celui dont j’avais vraiment besoin. Celui que j’attendais depuis longtemps.
Avant de monter dans le taxi, j’ai serré fort Orianne dans mes bras, on s’est promis de se revoir en France, à Bali ou… ailleurs ! Elle m’a glissé une fleur de frangipanier derrière l’oreille et puis, je suis partie. Je ne saurais pas comment conclure parfaitement cette série de quatre articles où je pense vous avoir presque tout dit de mon volontariat à Bali et dans lesquels, je me suis sans doute répétée un peu.
Je vais donc juste vous remercier de me lire et de prendre parfois le temps de m’écrire ; parce que vous aussi, sans le savoir et à votre façon, vous m’avez donné de la force et continuez de le faire. A très vite :)
marie_ftn
Quel joli récit ! Ce devait être une superbe expérience.
Vivre c’est rêve et ne laisser personne nous empêcher d’être heureuse, je crois que c’est en effet l’essentiel finalement. C’est aussi le fait de partir seule loin de chez moi qui m’a fait réalisé cela, même si ce n’est pas toujours facile de mettre en pratique :) . Et évidemment tes photos sont superbes !
LaëtitiaAutrice
Merci beaucoup Marie pour ton commentaire :) Comme quoi, ce n’est vraiment pas une légende que les voyages forment la jeunesse :P
juliette
C’était un vrai plaisir de lire ces articles, tellement inspirants !
Et, à titre très personnel, je suis heureuse que tu aies entrepris ce voyage… <3
LaëtitiaAutrice
Merci mon petit Jouliette <3 x 1000
Irene
C’est toujours délicat la question des photos, j’en avais rapporté pas mal de mon voyage au Togo, dont des portraits qui me rendaient assez fiers… depuis, beaucoup de discussions, une fois on m’a demandé si je diffuserais aussi facilement des photos de petits français prises dans la rue sans demander l’autorisation de leurs parents. Cela m’a fait réfléchir, ma position sur la photo de rue en général n’est pas vraiment arrêtée. Dans tous les cas ce sont des expériences qui font avancer sur le plan personnel :)
LaëtitiaAutrice
Alors oui et non, en France il y a une jurisprudence qui dit que l’expression artistique prime sur le droit à l’image sauf dans le cas où la photographie – et on le comprend – porterait atteinte à la dignité/vie privée de la personne. Tu as plus d’infos ici si ça t’intéresse > http://blog.droit-et-photographie.com/droit-a-limage-dune-personne-photographiee-dans-un-lieu-public/ :)
stéphanie
joli compte rendu …. qui laisse transparaître une grande mélancolie …. merci :D
LaëtitiaAutrice
Merci Stéphanie ! Pas vraiment mélancolique, plus… pleine de gratitude en fait et j’ai très envie d’y retourner avec les gens que j’aime, pour vivre une expérience différente sur cette île que j’ai tant aimé :)
MarieDesAlpes
Merci pour ces jolis récits très très bien racontés et qui m’ont embarquée à chaque fois en voyage à Bali ! Meci de m’avoir fait rêver et bravo pour ta sagesse qui se profile.
A bientôt je reviendrais ici !
LaëtitiaAutrice
Merci Marie, ton mot me touche beaucoup ! A bientôt :)
Pauline
Salut Laëtitia !
J’ai lu avec attention tes articles sur Bali, puisque j’y suis parti presque un mois avec une amie en Aout dernier. Je me suis beaucoup retrouvée dans tes propos, notamment en ce qui concerne la sérénité d’Ubud (nous aussi, après 9 jours là-bas, nous avions nos habitudes, notamment à Kafe, ça me manque !)(et puis le chocolat ChokChokChocolate… J’espère que tu as pu y gouter, Vegan, une pure merveille !). Nous avons pour le coup pas mal bougé, et avons adoré Lombok qui est encore un peu préservé. J’avoue avoir souffert à Ubud des sollicitations permanentes (Taxis et Massages, particulièrement) même si je comprends bien qu’ils font comme ils peuvent… Moi, ce qui m’a bouleversée, c’est surtout l’ascension du Rinjani. Je suis aussi revenue de ce voyage transformée, apaisée, et plus forte. Il est surprenant de voir à quel point cet endroit envahi de touristes garde une âme.
Ah, et puis tes photos sont splendides. J’aime aussi beaucoup prendre les gens en photos, encore plus que les grands espaces, mais j’ai arrêté de le faire. J’ai une règle : tant que je ne serai pas capable d’aller parler avec les gens pour leur demander, je ne les prends pas en photo (enfin, dès lors qu’ils sont reconnaissables). Je ne fais pas ce que je n’aimerais pas qu’on me fasse. (Si ça t’intéresse, quelques photos se baladent sur mon fil twitter).
Bref, j’ai beaucoup parlé de moi finalement, mais tes articles sont très touchants et inspirants. J’ai bien envie de tester le voyage en solo !
Bonne journée
LaëtitiaAutrice
Oh bah non, je n’ai pas du tout goûté ce chocolat ! Et une excuse de plus pour y retourner un jour, une ! Bravo pour l’ascension du Rinjani dont j’ai souvent entendu parler comme étant une randonnée très éprouvante qui repousse tes limites et qui est récompensée au sommet :) Concernant les photos, je comprends parfaitement et c’est pour cette raison que j’ai toujours demandé avant de photographier les gens/les enfants, c’était aussi un moyen d’engager la conversation parfois… En tout cas, oui, je te souhaite de voyager seule un jour. C’est vraiment une expérience formidable :)
Elodie.R
Superbe article!! Effectivement on sent dans ton récit que cette expérience t a apporté et t’a certainement changé peut être même grandi! Je continue toujours à te lire même si je n’ai pas trop le temps de laisser un commentaire les derniers temps suite à la naissance de mon petit loup!
LaëtitiaAutrice
Merci beaucoup Elodie pour ton mot et puis plein de bonheur avec ton mini toi. A bientôt :)
Maureen
Très bel article…. qui m’a vraiment fait voyager à Bali l’espace d’une lecture :) Elles sont très jolies tes photos !
LaëtitiaAutrice
Merci du fond du cœur Maureen, je suis heureuse de lire que l’article t’a fait un peu voyager ! A très vite :)
Mythily GeeketteCuisine
Wahou ! J’ai été ravie de lire ton expérience de volontariat et j’ai dévoré chaque article comme un nouvel épisode de série (j’aadddddoooooooore les séries). Tes articles m’ont fait voyager, tes photos sont absolument sublimes, surtout les portraits qui ne laissent pas transparaître de voyeurisme, bien au contraire. Merci d’être une personne aussi sensible et de partager avec nous ta vision des choses <3
LaëtitiaAutrice
Merci merci merci Mythily, ton commentaire m’a mis du baume au cœur en ce lundi matin un peu nul <3 A très vite, j'ai d'autres beaux voyages à partager avec vous dans les semaines à venir !
Delphine / 7h09
Quelle belle expérience ! J’aimerais que mes filles puissent faire ça un jour… C’est un beau geste pour les autres et pour soi !
Alice
Un dernier article qui, comme les précédents, est rempli d’émotion. C’est beau de te lire et de voir tout ce que cette expérience en solo t’a apporté… Tu me tenterai presque :)
LaëtitiaAutrice
Merci ma si chouette Alice <3
Anne
Il y a beaucoup d’émotion à te lire! Bravo! Et garde en toi ces moments tout doux pour ceux qui seront moins roses.
LaëtitiaAutrice
Merci beaucoup Anne pour ton gentil commentaire :)
Salomé
C’est la première fois que je commente un de tes posts. Merci pour cette série d’articles sur ton volontariat à Bali qui me conforte dans l’idée que ce genre de projet me plairait. Après avoir entendu de nombreux commentaires/avis/remarques négatifs sur les organismes comme le WEP *volontourisme* j’étais curieuse de connaître ton point de vue. Bref, ton article m’a décomplexée face à ce type volontariat.
Ton récit est vraiment émouvant et tes jolies photos donnent envie de voyage.
Merci pour tes articles inspirés et inspirants, c’est toujours un plaisir de te lire :)
Fanny
Bali c’est magique, j’ai adoré aussi.